Les classes de primaire
L’école primaire de l'école Galilée est composée de cinq années d’enseignement qui respectent le programme de l’Éducation Nationale en l'enrichissant avec le programme Bilingue, du niveau CP jusqu’à la classe de CM2.
L’effectif maximum par classe ne dépasse pas quinze enfants.
La pédagogie est active : il s’agit pour les enfants de faire et non pas seulement d’écouter, que ce soit en Français ou durant les 8h d'Anglais hebdomadaires.
Les principes pédagogiques
L’apprentissage passe, en effet, par l’expérimentation : la réalisation de projets permet de fonder les apprentissages sur des notions concrètes et ainsi de donner du sens au savoir.
De même, l’entraide entre les élèves est valorisée : lors de projets collectifs ils doivent apprendre à coopérer pour réussir. Les plus avancés dans certains domaines vont aider leurs camarades. Pour l’enfant sollicité, c’est le moyen d’expérimenter, de réviser ses acquis, d’être reconnu au sein de sa classe. Pour les autres enfants, c’est une occasion de plus d’apprendre à faire confiance à l’autre, d’apprendre à le laisser s’exprimer, d’apprendre à apprendre…
Les enfants étudient sur des manuels scolaires classiques mais aussi sur des fiches individuelles créées sur mesure pour chaque enfant par les enseignants.
L’apprentissage de l’anglais est d’une heure par jour avec un professeur diplômé, de langue native qui enseigne également la Découverte du Monde, en anglais, une heure par semaine.
Les enfants ont trois heures de sport par semaine en anglais, encadrées par un professeur certifié, également de langue native anglaise.
Une large place est également laissée à l’Art (histoire de l’art et mise en pratique), par un professeur certifié.
La journée commence par un temps de parole qui permet à chaque enfant de s’exprimer et où les autres apprennent à écouter, à questionner.
Ce temps permet souvent d’initier des projets de classe ou des projets personnels (sur des sujets permettant des acquisitions dans différentes disciplines) qui valorisent les enfants et les aident à prendre confiance en eux.
Ces temps de parole prennent également appui sur les questionnements philosophiques des enfants (« C’est quoi l’amitié ? » La vieillesse ? L ‘infini ?..) et sont encadrés au moyen de la Communication Non Violente, processus de communication créé par le psychologue Marshall Rosenberg « pour faciliter les relations entre les personnes » .
Durant la journée, le travail peut être ensuite individuel ou organisé en petits groupes de niveau, ce qui permet à chaque enfant d’avancer à son rythme.
Une école bilingue performante
L'enseignement décloisonné, fonctionnant selon des groupes de niveau, implique une pratique des évaluations différente du système traditionnel.
Elles sont là pour encourager l'élève dans sa progression et l’aider à développer sa confiance en lui.
Une première évaluation se fait à l’inscription des enfants : elle permet de détecter d’éventuels décalages dans les acquisitions ou des lacunes, mais surtout de les placer dans le bon niveau de classe, et de donner une base à l’enseignant pour construire son plan de travail personnalisé.
Lors des cinq périodes scolaires les enseignants font ensuite des bilans de connaissances réguliers.
Afin de respecter les programmes de l’Éducation Nationale et de permettre à l’élève de retourner dans le système classique avec facilité, l’évaluation est basée sur des bulletins trimestriels. Ces bulletins seront donnés aux parents à titre informatif et conservatoire : ils pourront être demandés dans les écoles publiques.
Pour l’élève, l'évaluation fonctionne par objectifs d’apprentissages. Les élèves s’appuient sur ces évaluations pour savoir dans quels domaines ils doivent faire porter leurs efforts. Elles sont à la fois écrites et orales. Surtout pour les enfants présentant des problèmes de graphisme comme de dysphasie ou de dyspraxie.
Comme il n’y a pas de classement des élèves, cette relation à l’évaluation est différente de celle mise en œuvre dans les pédagogies institutionnelles. Ici l’enfant progresse par rapport à lui même, à des objectifs personnels et non, par rapport aux autres enfants. Il s’habitue à avoir un regard sur son travail. Cela lui permet de se réconcilier avec la notion d’évaluation, de bien vivre ces moments indispensables à la vie scolaire qui tétanisent malheureusement certains enfants dans le système traditionnel.
L'École Galilée présente ses élèves aux Examens de Cambridge Cambridge English Exams et a obtenu 100% de réussite du niveau Starters au niveau KET depuis 2010
L'activité physique et sportive
Elle intervient entre trois heures et quatre heures par semaine selon les cycles, au terrain de sport Georges Hébert. Le sport est dispensé en Anglais par un professeur certifié et natif.
Selon les instructions officielles, en s’appuyant sur les activités sportives ou artistiques, l’EPS vise l’amélioration des capacités physiques, motrices et organiques. Elle permet grâce à une amélioration des coordinations socio-motrices et motrices (ergomotricité) une maîtrise par l’homme de son environnement physique et social. Elle contribue de manière plus large à la transformation des conduites motrices des enfants. Tout en répondant au besoin et au plaisir de bouger, elle permet de développer le sens de l’effort et de la persévérance. Les enfants précoces apprennent à mieux se connaître, à mieux connaître les autres. Ils apprennent aussi à veiller sur leur santé.
A l’école primaire, l’EPS continue et développe le système initié en maternelle : elle vise le développement des capacités motrices et la pratique d’activités physiques, sportives et artistiques. Elle contribue à l’éducation et à la santé en permettant aux élèves de mieux connaître leur corps, et à l’éducation à la sécurité, par des prises de risques contrôlées. Elle éduque à la responsabilité et à l’autonomie, en faisant accéder les enfants à des valeurs morales et sociales (respect de règles, respect de soi-même et d’autrui).
Les activités pratiquées sont :
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Activités athlétiques : courir vite, courir longtemps, courir en franchissant des obstacles, courir en relais, sauter loin, sauter haut, lancer
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Réaliser une performance mesurée (en distance, en temps)
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Coopérer ou s’opposer individuellement ou collectivement : Jeux de lutte ou Jeux de raquettes
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Jeux sportifs collectifs (handball, basket-ball, football, rugby, volley-ball) coopérer avec ses partenaires pour affronter collectivement des adversaires en respectant des règles et en assurant des rôles différents (attaquant, défenseur, arbitre)
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Activité gymnique : construire et réaliser un enchaînement de quatre ou cinq éléments « acrobatiques » sur divers engins (barre, moutons, tapis).
