Olivier Revol
Septembre 2013 |
« On se calme ! »
« Agités, incapables de fixer leur attention, insatisfaits chroniques, les jeunes tête-en-l’air sont d’autant plus difficiles à gérer que les adultes eux-mêmes participent à la frénésie ambiante : bouger, zapper, consommer, et plus que tout faire barrage à l’ennui. Tous hyperactifs ? « Cette agitation n’est pas une maladie mais elle peut le devenir » et, dans les cas les plus sévères, pénaliser toute une vie et conduire à la spirale de l’échec. «
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