
Maria forma des éducateurs sur tous les continents et écrivit une dizaine de livres dont le plus lu et traduit est L’enfant (1936). Elle y expose sa conviction profonde : c’est en respectant l’enfant et en le suivant qu’on l’élève le mieux. Selon elle, l’éducation consiste à laisser « jaillir une source » et non à « remplir un vase » de connaissances.